la lapébie 2 (le 1 dessous)

La descente du col des ares se fait rapide et sans encombre .Pour 200 coureurs qui m ont doublés dans la montée ,j en double 50 dans la descente . Le seul probleme c est que ces 50 me redoublent dans le col du buret.  
LA route jusqu au pont de l houle me parait longue pourtant  je me sens bien .le rytme est difficile a trouvé avec ses montées et descentes.
Manu a reussi a prendre un groupe devant ,il envoie encore pour  remonter sur les premiers mais ca semble mission impossible
Robert continue a accentuer son avance sur moi en montant au train.Il devore ses topettes ,et tout les produits censes lui enlever les crampes.
Le Mente arrive ,Manu l a dur ,il a des crampes et des douleurs, ses vieux demons lui reviennent a l esprit,le temps ou paralysé par des crampes je l avais doublé dans le portillon ou quand apres 3 crevaisons il avait du abandonner sous des trombes d eau dans le Mente.Ne pouvant rattraper les premiers il decide de gérer.

En haut du mente nos 4 journalistes sont encore present,ca fait du bien de les voir et d entendre leurs encouragements. Robert est surement celui qui finit le plus frais le mente , il m a déja pris 5 mns,Manu est loin devant.
Sarah se met a courir a coté de moi avec une telle facilité que je vérifie la vitesse sur mon compteur,10 km/h ,je rame ,vivement la descente. Le ravitaillement je ne m arrete pas, la peur de ne pas repartir.
En plus il ne fait pas chaud en haut.

Je fais la descente a fond ,sans pédaler ,mais j atteins les 80km/h ya vraiment que la que je suis bon.

Sait beat j attends quelques collegues de circonstance pour faire la route jusqu au portillon a l'abri.
Aprés quelques km je décide de prendre la roue de 2 gars et on se relait pendant 7 ou 8 km mais je sens que je vais le payer.Je laisse donc mes 2 coequipiers partir pour me reposer et j attends un groupe que je vois au loin.Je prends leurs roues mais sur 300 400 metres la je sens mes jambes tétanisées , je monte sur Bossos a 15 km/h , je comprends enfin que la montée du portillon va etre un enfer.

Manu a récuperé il monte le portillon en moins de 33mn ,il sait qu il a le record le reste n est q une formalité
Robert continue a rouler fort il accuse le coup dans le portillon mais il avance.

L enfer je vous dis,il fait 50° a l ombre  la route fond et se colle a mes pneus,non ceux sont mes freins qui se resserent tout seul et qui m empeche de m envoler vers le sommet ,ou alors j ai pris 10kg dans le dernier virage ou bien ou bien ou bien je suis cramé .Des dizaines de cyclistes me doublent ,moi je suis persuadé que la terre entiere va plus vite que moi en vélo.Je me met en danseuse pour accélerer le tempo,mais ma vitesse ne monte pas pire elle diminue.Mon cerveau envoie des informations a mes jambes qui n en font qu a leur tete C'est mon probleme mon cerveau et mes jambes se mettent a réflechir je n ai donc plus presonne pour pédaler.
D habitude j aime bien ce col parce que je le trouve court ,la il me semble interminable,les km font 1 km5.
Enfin le sommet , et la bascule je double tous ce que je peut ,je suis tellement dans le cirage que je reconnais meme pas la route
L arrivée je ne peux meme pas accelerer pour voler une place.Je suis rétamer mais fier de l avoir fini ,car j avais oublié comment cette course était si difficile et exigeante

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